La niouz n° 11/2019

LE COMPTE A REBOURS EST PARTI !


Dans 31 jours le grand soir...
La boutique de nos couturières est ouverte tous les week-ends et jours fériés, place de la basilique ; vous y trouverez tenues diverses et accessoires indispensables à toute femme élégante et tout charmant monsieur.

Le 1er mai, le muguet guette la quête du cueilleur de bonheur.

LE CERTIF'
Pendant le Week-end 1900 il sera possible d'affronter les épreuves du certificat d'études, conduites par une accorte maitresse d'école authentique (mais pas d'époque allez-vous dire... Hé bien si ! Car le certif' a duré jusqu'en 1989, voyez-vous). La blouse grise de rigueur sera fournie et l'encre violette aussi, avec la plume sergent-Major... (Inscriptions auprès de Label Soulac car le nombre de potaches est limité ; il n'est pas nécessaire d'indiquer le tour de tête pour le bonnet d'âne).
Il est grand temps donc de commencer les révisions.

 

Problèmes de mobiles (garantis d'époque).
Entraînement
1/ Echauffement :
Une jeune soulacaise parcours 6km3/4 en 1h1/2 ; quelle est sa vitesse en km/h ?
2/ Endurance:
A la vitesse de 30km/h, un bicycliste est parti depuis 1h1/2. Dans combien de temps une automobile (partie du même lieu*), qui roule à 50km/h l'atteindra-t-elle ?
(*) Précision indispensable ajoutée...

 

A propos du Ptit Quinquin (cité dans une niouz précédente).
C'est un poète lillois qui a écrit "Le p'tit quinquin" : Alexandre Desrousseaux (1820-1892). Il l'a écrite en 1853 en ch'ti. A cette époque, Desrousseaux a 33 ans et vit avec sa mère dans le quartier populaire Saint-Sauveur à Lille. Et c'est en observant une dentellière endormir son enfant qu'il a eu l'idée d'écrire cette berceuse.
Elle a eu un gros succès. 100 000 exemplaires vendus entre 1853 et 1890. Les cliques, les fanfares, les orphéons ont repris très vite la chanson. Les publicités se sont multipliées autour. "C'est un tube avant la lettre".


La berceuse devient marche. L'armée française ou plutôt les soldats vont s'emparer de la chanson. On la retrouve pendant la guerre de 1870. Les soldats la chantaient pour se motiver, avant d'aller se battre contre la Prusse. Avec les poilus de 1914-1918, elle fera même le tour de la France.

LES MOTS RIGOLOS DE LA BELLE ÉPOQUE

Quand ça ne vaut pas tripette c'est que ça vaut des clopinettes ; c'est de la gnognotte, en quelque sorte ; ça se paye en roupie de sansonnet car, si vous préférez, ça ne vaut pas un clou, quoi !

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 Prochaine NIOUZ le 15mai...